Le personnel d'armée casqué et portant un bouclier part d'un de trois bus pour contrôler des protestataires dmolissant le mur.
L'atterrissage du petit avion d'Air Canada c'est fait à l'aéroport de la ville du Québec, qui est nounalement calme, vendredi passé -l'ouverture du Sommet des Amériques - Ça s'est passé différament de quelques semaines plutôt dès que l'avion à toucher sol. Mon premier indice de l'état militaire auquel j'était sur le point d'entrer comme "un invité officiel" de la société civile était les quatre hélicoptères d'armée alignant la piste de décollage et d'atterrissage, les avions officiels du gouvernement garé sur les bords et les hordes d'agents de la sécurité et de voitures noires garées où l'avion était sur le point de s'amarrer Le pilote fait une annonce que les membres du Guyanese, des délégués jamaïquains et boliviens sont sur notre avion, et que nous devons les laisser descendre avant le reste des passagers. Une fois dans le terminal je peux voir que le personnel d'armée et la sécurité, des secrétariats et des policiers surveillent tout : tenant toute les portes fermées à part la sortie, rampent sur la récupération des bagages, interrogent ceux d'entre nous qui prennent des insignes de sécurité.
Mon insigne de Sécurité : "Invité Officiel"Et ainsi, mon épreuve a commencé. Ils ne pouvaient pas trouver mon insigne de sécurité qui me donnait la permission d'être à l'intérieur du périmtre, donc ils m'ont isolé dans une pièce où j'ai été bientôt rejoint par les membres de la délégation bolivienne qui avait aussi leurs passeports scrutés. Par chance pour moi, un secrétariat d'un certain âge a décidé d'avoir pitié d'une jolie jeune fille et alors mon insigne de sécurité s'est bientôt retrouvé dans mes mains. En me poussant à l'extérieur pour me conduire à la voiture officielle, ses mots de séparation furent: "votre insigne de sécurité est comme l'or. Portez-le partout, tout le temps. Vous serez très probablement défiés mme avec l'insigne. Bonne chance." Ilaissa donc cet avertissement dans mon esprit et je comptais sur le hasard pour découvrire comment vrai étaientses mots. Sur la commande de l'aéroport le fourgon a voyagé sur des routes nouvellement construites et non pavées. Tous le long de la rivière, des policiers lourdement armés sont debout et regardent. Un hélicoptère planait sur les ponts qui traversent la rivière St-Laurent pour surveiller au cas où il y aurai des terroristes. à ce point, je ne suis pas sûr que je veux vraiment être à l'intérieur du périmètre. Sept points de contrôle de sécurité plus tard, je me suis rend finalement au Château Frontenac l'Hôtel à l'intérieur du périmètre surnommé "le Mur de la honte". Juste pour entrer à l'hôtel et chaque fois après ça, j'ai dû montrer mon insigne de sécurité à trois points de contrôle différents, passer au détecteur de métaux et mettre mon sac par le scanner de rayon x. Mon sac aussi a été fouillé plusieurs fois et ont m'a souvent demandé des questions comme, "Qu'est c'est ça?" à la vue de mon ordinateur portable iBook et du cordon d'alimentation.
Une protestation commence à la barrire de périmtre pendant la marche des peuples samedi.
Les nuages sont le gaz lacrymogne..
Un policier
armé et
protégé
par masque
à gaz,
garde
chaque
bloc
Le départ de l'hôtel pour le déjeuner et des réunions à d'autres hôtels à l'intérieur du périmètre a révélé la vraie mesure de la sécurité en place : tireurs isolés et caméras vidéo sur les toits des bâtiments, police armée à chaque pâté de maisons, escorte de police pour les voitures des leaders et les bus de soldats d'armée étant mis aux points de conflit le long de la barrière 24 heures par jour, des hélicoptères de police examinent la ville et le mur d'en haut. Après être partis de l'hôtel Radisson près du boulevard René-Lévesque de notre première réunion de Société civile, nos sens ont été instantanément assaillis par les nuages de gaz lacrymogène. En regardant vers le mur, j'ai été abasourdi. Une masse de plus de 100 personnes d'armée dans le plein mécanisme d'émeute était debout épaule à épaule et trois hommes de profondeur et six lignes de policiers devant des protestataires essayant d'abattre la barrire. J'ai voulu arriver tout prs, mais sans un masque à gaz ou mme une écharpe, le gaz lacrymogne m'a conduit en bas de la colline. Il n'y avait aucun autre choix, que de se rendre à l'htel et de regarder ce qui arrivait à la barrire, à la télé. Aprs avoir été à l'intérieur pendant toute une journée, je peux dire à coup sr que moi-mme et Marie-Michle sommes les seules jeunes à l'intérieur du mur tout entier. Vendredi soir, nous avons été incapables de rencontrer avec nos contreparties de La Commission des étudiants à l'extérieur du mur - la police à la porte ne pouvait pas garantir que l'on serait de retour à l'htel car ils prévoyaient faire un "barrage en bas" plus tard cette nuit.